Les notes au détail (EFI-PTS) : l’Écriture, la Forme, l’Intensité ; la Pertinence, le Style, la Sympathie.
Les huit catégories de genre : Intimisme (empathie et personnages), Drame (lourdeur et extériorité), Fantaisie (évasion et imagination), Épouvante (effroi et agression), Suspense (intrigue et investigation), Action (aventures et divertissement), Comédie (humour et situations) & Alternatif (non-fiction et expérimental).
Le bloc supérieur (+ ou ++, soit à partir de 72 jusqu’à 98) est en rouge. Le bloc inférieur (- et –, de 32 à 12/100) est en bleu sombre.
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→ Pokot/Tableau de chasse =- (suspense Pologne 2017) : Amalgame de conte et de thriller. Perspective pro-diversité et ‘animaliste’. Un peu d’humour noir ou même simple mais fondamentalement de parti-pris, en faveur de la vieille et son combat. Original, peu charmant. 456-545. (52)
→Brightburn l’enfant du mal =+ (2019) : Des faiblesses dans le scénario et certains enchaînements, mais d’une efficacité redoutable si on se laisse un peu embarquer. Il suffit de se placer du côté des parents responsables d’un tel fléau, de l’avoir voulu et protégé. Interprètes excellents et jeu glacial du gamin. Scènes gores extrêmes et menace lourde, dans un contexte relativement confiné – le film de super-héros conventionnel inversé commence à la fin de celui-ci. 568-577. (68)+
→ Illusions perdues =+ (drame France 2021) : voir la critique. 757-746. (62)
→ Storm Boy + (2019) : Satisfaction de vivre dans un endroit préservé, avec une dose minimale et améliorée d’Humanité et surtout un pélican pour meilleur ami. Seuls deux chasseurs et la nécessité de partir pour se développer troublent cette paix. Entre la robinsonnade et le virage grâce aux vieux actionnaires avisés et fidèles : marxistes évitez sous peine d’AVC. 778-668. (72)
→ Le grand bleu + (action 1988) : Appel de la liberté radicale, de l’évasion maximale – et du vide serein. Cinéma contemplatif et sportif, passionnant sinon hypnotique si on se laisse prendre – j’imagine qu’on peut rester à quai et souffrir d’un manque de rebondissements ou de ‘réflexion’. À ce stade, ce que j’ai vu de mieux de la part de Besson tant réal que producteur. Le seul défaut du film c’est le personnage de Jean Reno, mais cette touche d’humour enfantin et de cliché outré est plus futile que gênante. 688-688. (78)
→ Le dernier duel =+ (drame 2021) : voir la critique. 787-676. (66)
→ The night house / La proie d’une ombre + (suspense 2021) : Excellent comme drame psychologique, vulnérable comme polar et peu abordable sous cet angle à cause du ‘divulgachage’ facile. Fait cohabiter fantaisie (avec de plus en plus un soupçon de psychose) et réalisme. Déni et fugue par rapport à ce disparu et sa propre contribution au couple. La participation de l’entourage est astucieusement gérée pour alimenter le suspense. Décors attirants avec la maison en bordure d’un lac. Le jardin secret glauque, les sacrifices pour l’aimé(e) malade, l’attraction-répulsion pour un arrière-monde susceptible d’être expérimenté physiquement, rappellent Hellraiser, la statuette le cite concrètement ; le film suivant du réalisateur est son remake, avec le Pinhead féminin. Dialogues parfois répétitifs ou lourds (ce qu’est l’amie blonde), rythme (dépressif) peu engageant au départ qui pourrait laisser beaucoup de monde sur le côté si cette femme et son drame n’intéressent pas rapidement. 768-688. (78)
Mini-Critiques 2022 : Oct, Sep, Aou, Jul, Jun, Mai, Avr, Mar, Fev, Jan. 2021: Dec, Nov, Oct, Sep, Aou, Jul, Jun, Mai, Avr, Mar, Fev, Jan. 2020: Dec, Nov, Oct, Sept, 15, 14, 13. 2019: 12, 11, 10. 2018: 9, 8. 2017: 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1. Mini Mubi : 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1.
Mini Courts : 2021, 2020, 4, 3, 2, 1. Courts & moyens Mubi : 4, 3, 2, 1.
Mini Revus : 2020, 1ou2018/2019
zogarok 
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