ALBUMS 2023

5 Fév

Notés 9

  • Altus – Time collection pt1 : Ghost of Time (Canada 2015) ambient >9-
  • Steve Roach – Dreamtime return (1988) ambient >88

Notés 8

  • desert sand feels warm at night – [‘Disciples du nouveau monde’] (UK 2021) vaporwave >8- : Un nouvel élément évident pour la liste Poupre.
  • Susumu Yokota/Stevia – Fruits of the room (Japon 1997) electro/house >8+ : Pourpre mais avec un côté lunaire (donc tire vers Absinthe). Morceaux ‘Maverick’ et ‘Penguin on desert’.
  • Susumu Yokota – Cat mouse and me (Japon 1996) electro/trip-hop >78 : Turquoise (bien qu’il contraste avec l’habituelle ‘ambient’).
  • Tatsuro Yamashita – For you (Japon 1982) city pop >78 : Peut facilement générer une overdose, aussi facilement que donner envie d’y revenir ou s’écouter en boucle. Beaucoup de passages marquants. ‘Pourpre/Ambre’ exubérant.
  • The irresistible force/Mixmaster Morris – Flying high (UK 1992) electro/techno >78
  • Susumu Yokota/Ebi – Zen (Allemagne 1994) electro/techno >82
  • Altus – The sidereal cycle 3 (Canada 2012) ambient >8-
  • Altus – The Time Collection, pt2 : Time forgotten (Canada 2015) ambient/electro >78 : Album que j’ai d’abord écouté avec plus de distance que les autres (première note 68), à cause de sa monomanie triste (quoique le troisième des quatre morceaux, What you leave behind, soit remuant, enserre même à la surface). J’appréciais l’exécution mais trouvais que les autres opus d’Altus faisaient probablement le même travail, sans appesantir à ce point. En y revenant, je le trouve somptueux. Il donne la sensation d’être plongé dans une abîme limpide, un bain nostalgique. Il ne faut pas y venir pour accompagner une humeur laborieuse ou enjouée.
  • Tatsuro Yamashita – Spacy (Japon 1977) city pop >78 : Pourpre/Ambre.
  • Atus – Pioneer (Canada 2018) ambient >78
  • Altus – Excursion three (Canada 2014) >78+ : Verse dans le drone. Découvert le 5 octobre 2023. Non-référencé sur SC.
  • Altus – The elements : Fire (Canada 2005) ambient >8- : Morceau ‘Scintillation (part 2)’ à laisser de côté.
  • Altus – The elements : Air (Canada 2004) ambient >82 : Turquoise et Turquoise/Absinthe.
  • Altus – The elements : Earth (Canada 2003) ambient >78
  • Altus – The grand expanse (Canada 2007) ambient >8- : Saphir/Turquoise.
  • Altus – Below the root (Canada 2017) ambient >78 : Classé carrément Brun/Absinthe.
  • Altus – Black hole (Canada 2004) ambient >78 : Absinthe/Turquoise en ouverture et avec les deux derniers morceaux ; Absinthe/Brun au cœur. Les autres albums d’Altus sont essentiellement Turquoise.
  • Michael Bruckner – Footprints (Allemagne 2020) ambient >78 : Turquoise/Absinthe.
  • Altus – Innerspeace (Canada 2018) ambient >8- : Morceaux 2 ‘Vast yet insignificant’ et 5 ‘Release’.
  • Occult obsidian – Secrets obscured in the past (2022) ambient/dungeon synth >8- : Découvert le 5 juin 2023. Non référencé sur SC mais trois autres albums/EP le sont.
  • Michael Bruckner – Eleventh sun (Allemagne 2012) ambient >82
  • Software – Chip meditation (Allemagne 1985) ambient/berlin school >82
  • George Clanton – Slide (2018) pop >78

Notés 7

  • Susumo Yokota/Prism – Metronome melody (Japon 1995) electro >7+ : Turquoise avec du Pourpre (surtout) au début, puis un peu Absinthe fané. Plusieurs trop longs passages d’autistes bruitistes gâchent le plaisir.
  • Susumu Yokota/Prism – Fallen angel (Japon 1997) electro/ambient >68
  • Ascendant – Outlets of the sky (2014) ambient >72
  • Ascendant – Source transmission (2016) ambient >72
  • Echo season – Solarmetric (2020) ambient >68
  • Echo season – Periphery (2018) ambient >72
  • Ascendant – Particle horizon (2017) ambient >72
  • Carbon based lifeforms – Stochastic (2021) ambient >68
  • Windows 96 – How to see through walls (Brésil 2023) vaporwave >72
  • Takahiko Ishikawa – The firmament (Japon 1993) ambient >68 : Turquoise avec du Ambre très doux. Peut devenir agaçant dans certaines circonstances (le morceau ‘Memories of swing’ risque de l’être dans toutes) ; on est facilement trop ‘lourd’, pressé ou assombri pour trouver recevable cette musique guillerette.
  • Tomoyuki Asakawa – Endless tide (Japon 1993) ‘ambient’ >72
  • Altus – Winter Embrace II (Canada 2007) ambient >68 : Morceau unique d’1 heure, minimaliste et répétitif comme souvent, dans un style plaisant mais pas si enchanteur. Les Winter Embrace (avec les deux premiers ‘Excursion’) seront effectivement en bas de ma liste des albums d’Altus, ce qui est encore au-dessus de la moyenne.
  • Altus – Excursion two (Canada 2009) ambient >68
  • Jun Fukamachi – Spiral steps (Japon 1976) jazz >7- : Deux morceaux communs à l’album ‘Evening star’ sorti deux ans plus tard.
  • Michael Bruckner – Naura (Allemagne 2013) ambient >68
  • Haruomi Hosono + Shigeru Suzuki + Tatsuro Yamashita – Pacific (Japon 1978) jazz/pop >68 : Ambre ou Ambre/Pourpre.
  • Altus – Anthropoaliena (Canada 2022) ambient >72
  • Altus – Autumn Breeze (Canada 2005) ambient >7+ : ‘November rain’ très en-dessous.
  • Altus – Excursion one (Canada 2007) ambient >68
  • Jun Fukamachi – On the move (Japon 1978) jazz-funk >68 : Nouvel occupant au rayon ‘Ambre’. Potentiellement réjouissant ou exaspérant.
  • Jun Fukamachi – Quark (Japon 1980) electro >7- : J’aime surtout ‘Desillusion’ (3e), mais le dernier morceau ne mérite pas de patience.
  • Xasthur + Casket dreams – The hallucination tunnels (USA 2021) dungeon synth/dark ambient >7+ : Absinthe/Brun. Monte en qualité continuellement. Les deux premiers morceaux font tout pour décourager (le deuxième est exaspérant avant de laisser venir une éclaircie), les deux derniers ont une chaleur morbide remarquable.
  • Demdike stares – Liberation through hearing (UK 2010) dark ambient/drone >68+
  • Demdike stares – Symbiosis (UK 2009) ambient/dub >68 : Faite pour ‘encadrer’ vos cauchemars. Des morceaux surtout pénibles, d’autres séduisants, tous dans une approche ‘drone’ ou hypnotique.
  • Robert Schroeder – Time Waves (Allemagne 1987) electro >72
  • Amon duul II – Wolf city (Allemagne 1972) rock psychédélique/rock prog >68
  • Software – Chip meditation part II (Allemagne 1989) electro/berlin school >72
  • Robert Schroeder – Brain voyager (Allemagne 1985) electro/ambient >7+
  • Johnny Jewel – Windswept (USA 2017) downtempo >72 : ‘Saphir’ glamour.
  • Clara Mondshine – Memorymetropolis (Allemagne 1983) electro/berlin school >72
  • Wolves in the throne room – Celestite (USA 2014) dark ambient >68
  • Robert Schroeder – Galaxie Cygnus-A (Allemagne 1982) electro >72
  • Robert Schroeder – Mosaique (Allemagne 1981) electro/berlin school >72 : Une espèce de ‘drone’ electro.
  • Pharoah Sanders – Love in Us all (1974) jazz >72 : Pour le second morceau, To John, classé en ‘Brun’.
  • Pharoah Sanders – Journey to the one (1980) jazz >68 : Plus accessible et aimable. Trois premiers morceaux sans intérêt. Préférence pour Soledad et surtout Bedria (le dernier).
  • Georg Deuter – Celebration (Allemagne 1976) ambient/new age >7-

Notés 6

  • Cluster – Grosses wasser (Allemagne 1979) electro/ambient/krautrock >62
  • Dreamstate logic – Secrets of the stars (2020) ambient >6- : Écouté plusieurs fois, toujours en refusant de subir le troisième morceau.
  • Kettel + Secede – When can (Pays-Bas 2012) ambient >6- : Belle intro. Des passages lourdauds.
  • Secede – Tryshasla (Pays-Bas 2005) ambient >58
  • Amon duul II – Yeti (Allemagne 1970) rock psychédélique >58
  • Brian Eno – Music for installation (UK 2018) >6- : Compilation extraordinairement longue avec une cohorte de morceaux qui forment ma première déception pour du Brian Eno ; non seulement s’y retrouvent les albums les moins envoûtants (I dormienti, Lightness music for the marble place) mais en plus les ‘inédits’ sont ce que je dois qualifier de ‘pire’ de Eno. L’essentiel est léthargique et sans nuances (ou imperceptibles, conformément à ce principe des 7 millions d’arrangements possibles), se confondant éventuellement avec le commun de l’ambient. Les ‘Bells’ sont interminables, douloureuses et agaçantes. Les meilleurs morceaux (tous des anciens) ne sont que bons, les titres d’ouverture et clôture sont assez bons mais aucun risque de s’en souvenir.
  • Hiroshi Miyagawa(+Jun Fukamachi) – Space cruiser / Yamato synthetiser fantasy (Japon 1982) electro >62 : BO de la série (anime) Space Battleship Yamato.
  • Dreamstate logic – Era 3 (2018) ambient >58
  • Jun Fukamachi – Fusion synthese (Japon 1980) electro/jazz fusion >62 : Reprise à la chaîne de morceaux ‘classiques’ anthologiques. Grotesque garanti. [26 septembre 2023, non-référencé sur SC]
  • Jun Fukamachi – Second phase (Japon 1977) funk/jazz fusion >62 : Pour cet Ave Maria kitschissime et Fly up ! Superman. Le reste est plutôt banal dans le domaine, je ne relèverais que Stick freighter.
  • Jun Fukamachi – Evening star (Japon 1978) jazz fusion/funk >62
  • Altus – Winter embrace (Canada 2002) ambient >6+
  • Steve Reich – The desert music (1985) classique contemporaine >58
  • Pan american – The patience fadder (2022) ambient >62
  • Kali Uchis – Red moon in Venus (2023) soul >6+
  • King krule – Space heavy (2023) >58
  • Ziggurath – Tales from southern realms (2022) dungeon synth >58 : Découvert le 19-06, pas référencé sur SC.
  • Cyclobe – Wounded galaxies tap at the window (UK 2010) ambient >6+ : Brun-Absinthe, classé OSNI.
  • [EP] Demdike stare – Voices of dust (UK 2010) ambient >58
  • Lunar Womb – The sleeping green (Canada 2016) ambient >62 : Découvert le 3 juin 2023, non-référencé sur SC. Comprend le morceau [selon plusieurs sources, alors inédit et vieux de 19 ans] ‘Eben Ocean’. Pour les amateurs de dungeon synth ou de Summoning.
  • Johnny Jewel – The other side of midnight (USA 2014) dark ambient >58
  • Pan american – Quiet city (USA 2004) ambient >58
  • Amon Duul – Vive La Trance (Allemagne 1973) rock psychédélique >62
  • Steve Roach – Atmosphere for dreaming (2018) ambient >6-
  • Robert Schroeder – Harmonic ascendant (Allemagne 1979) ambient/berlin school >62 : Rien de si séduisant que la face A du disque suivant, Floating music.
  • Robert Schroeder – Floating music (Allemagne 1980) electro/berlin school >58 : Beaucoup aimé la face A (trois titres). Dans la suite, seuls les intermèdes me plaisent mais tout y compris eux est répétitif et parfois un peu laid.
  • Alice Coltrane & Pharoah Sanders – Journey in Satchidananda (1971) jazz >62
  • Georg Deuter – San (1985) ambient/new age >58
  • Spiritualized – Pure phase (UK 1995) rock psychédélique >6+

Notés 5

  • Gentle Giant – Octopus (UK 1972) rock progressif >48 : La version allongée même remastérisée ne plaide pas pour davantage.
  • Pharaoh Sanders – Tauhid (1967) jazz >5+ : Nombreuses écoutes car j’avais du mal à me décider pour la note. Finalement vers le bas.

Notés 4

  • Amon Duul II – Dance of the lemmings (Allemagne 1971) rock psychédélique >38
  • Amon Duul II – Nada moonshine (Allemagne 1995) rock >4+ : Chaque morceau commence ou finit par m’exaspérer, même ceux que j’ai aimé ou trouvé [‘positivement’] intrigant. Le morceau ‘Nada moonshine’ est à épargner et surtout ‘Castaneda da dream’ est à retenir (à défaut d’aimer – noté 6/10), au point que je l’ai ajouté dans ma liste « Rouge ».
  • [Live] Pharoah Sanders – Elevation (1974) jazz >38 : Tapage pénible au niveau des expérimentations, futile quand ‘To John’ sur Love in Us all fait ce travail avec apparemment plus de ‘rigueur’ ou de préméditation. Préférence pour Spiritual blessing, seul morceau sans jeux de discontinuités ni braillages collectifs.

Notés 3

  • Public image Ltd – Metal box (UK 1979) rock/post-punk >3- : Ce style glacial, ça fonctionne trente secondes… au-delà c’est douloureux (au mieux) et/ou (surtout) ennuyeux. Chaque morceau réduit à quelques dizaines de secondes pourrait avoir de l’impact au sein de compositions moins minimalistes.
  • Pharoah Sanders – Pharoah (1977) jazz >28 : La publication du dernier morceau laisserait songeur sans l’abominable deuxième. Seul le titre Harvest time aurait du être présenté – et je n’aime pas.

Notés 2

  • Zeal and ardor – Stranger fruit (Suisse 2018) ‘metal’ >2-
  • Natural snow buildings – The dance of the moon and the sun (France 2006) ambient/folk >2+ : Plusieurs fois je l’avais lancé en étant rebuté immédiatement. Cet album est si acclamé et apparemment compatible avec ce que j’apprécie que je repoussais l’écoute sans arrière-pensée. Finalement je lui donne une des pires notes, après une petite hésitation car il tombe au niveau d’Orelsan et de véritables déchets, ce qu’il n’est pas ; mais il fait partie de ces expériences sonores bourrées de manières que je déteste et même sans cela est à la limite du douloureux. Pourtant j’imagine le charme qu’on peut lui trouver, d’autant que des ‘paysages’ sonores similaires m’ont emporté.

Ré-écoutés et pas notés à l’époque :

  • Altus – Komorebi (Canada 2015) ambient >82 : Première écoute en octobre 2018.
  • Altus – 24 hours (Canada) ambient >78 : Première écoute en octobre 2018 comme Komorebi et Coma cluster.

Changements :

  • Altus – Coma Cluster (Canada) ambient >78 : Notée 7 à l’époque en octobre 2018.

Ré-écoutés et note confirmée/précisée :

RAS.

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