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JEUX VIDÉOS 2018 – BILAN (1/2)

25 Sep

Pour cette première année complète de pratique du jeu-vidéo, je casse l’article en deux ; les avis dans la seconde partie seront plus étoffés. Ils seront précisés en fonction des quatre critères avec lesquels je donne déjà ici les ‘sous-notes’ de chaque jeu.

  • Condemned : Criminal Origins (UK 2005 – Monolith) : Excellents décors, bonne ambiance (d’abord via les lieux, dans une moindre mesure par le son). Très bonne expérience, assez addictive (sauf les deux premiers chapitres), malgré un scénario mieux agencé que fort en soi. Capacité à courir réduite, probablement pour allonger la durée de vie, ne pas échapper aux multiples bastons et bonus. Le gameplay est par endroits mitigé, un peu lourd et scripté parfois, mais les combats sont excellents (et adaptables). Techniquement convenable mais pas valable pour ça, avec des cinématiques où les traits des personnages sont grossiers. À éviter pour les amateurs de difficulté, qui pourront commencer par laisser éteinte la lampe (elle le sera d’office dans le chapitre final). La promotion revendique une influence du Silence des agneaux et de Seven : la première paraît improbable, la seconde est évidente, avec cet enfer urbain et ces mises à mort punitives. Le boss final est un cousin de Pinhead (Hellraiser). Dénouement décent mais un peu idiot et ‘ouvert’. À essayer pour ceux qui trouvaient que DreadOut ne tenait pas ses promesses. 50e jeu-vidéo enregistré sur SC. Technique 7, Gameplay 7, Univers 9, Ludique 8. (76) 9heures
  • Quake (USA 1996) : J’apprécie beaucoup l’univers, même si je n’en ai pas profité de façon optimale pendant mes sessions, en jouant la version originale. Les versions ‘GL’ ne fonctionnaient pas. Les espèces de sangsues bleues volantes sont de loin les ennemis les plus pénibles. On reconnaît les prémices de Half Life à des détails comme la salle d’équipement ou certains bruitages (les explosifs). Technique 7+, Gameplay 8, Univers 8+, Ludique 7+. (80) 15heures
  • Spear of Destiny (USA 1992) : Suite de Wolfenstein 3D. Inclut Return to Danger (mission 2) et Ultimate Challenge (mission 3). Celui qui voulait une ou trois extensions a son équivalent. Technique 7, Gameplay 8, Univers 7+, Ludique 8. (78) 21heures
  • Resident Evil (Japon 2002) : Repris ce jeu pour le finir – j’arrivais au Laboratoire (et au disque 2). Malgré quelques points de détails toujours un peu agaçants côté gameplay, ce jeu reste remarquable – à la fois dans la technique, dans les graphismes, dans l’ambiance et le style. Le scénario, sans être profond, est assez étoffé et permet d’éviter une déception finale – il autorise aussi quelques choix, plusieurs issues (avec ou sans Chris pour ceux qui comme moi ont joué Jill – avec me concernant, après avoir galéré pour retrouver l’emplacement -pourtant évident- d’un dernier disque Mo). Je ne pourrais pas mettre moins de 8 et la note pourrait même être confortée lors d’un nouvel essai, dans un mode plus difficile et/ou avec Chris. Technique 10-, Gameplay 6, Univers 9, Ludique 7+. (76) 5heures +23heures en décembre 2017
  • Wolfenstein 3D (USA 1992) : Après avoir entamé plusieurs jeux décevants depuis le passage en 2018, j’espérais tomber sur un produit plus agréable même s’il devait être médiocre, avec Wolfenstein 3D. J’ai été satisfait et ce jeu n’est même pas médiocre. La note envisagée a progressé tout le long : au départ, la bouillie pixellisée m’incitait plutôt à donner un petit 6, voire un 5 si les choses tournaient mal, puis quelques heures sont avalées et le jeu est promis à un 7, toujours plus confortable. La qualification ‘3D’ s’appliquait peut-être il y a un siècle et pouvait faire illusion à la sortie, mais elle est inappropriée – et aujourd’hui, paraît ironique. Le grand défaut du jeu est là : en l’état son visuel est corrosif, avec les arrangements possibles et nécessaires il reste violemment daté, obsolète – et son ‘mauvais goût’ enfonce le clou. Pour le reste c’est plaisant, sinon réjouissant pour les fans de retrogaming ou les nostalgiques et pour les fans de FPS old school (ce titre en étant le premier grand dinosaure). Wolfenstein est plus simple que son successeur Doom mais pas moins généreux, avec une bonne durée de vie (comptez dix heures), même en le pratiquant en ‘Normal’ ou avec une difficulté plus modeste (la difficulté n’entrave rien pour la comptabilité du ‘trésor’, se contente de décupler les ennemis et leurs pouvoirs – en mode Normal, deux coups de face suffisent généralement à vous abattre malgré une pleine santé). Il embrouille et exige moins que Doom, sauf au niveau des secrets qui demeurent facultatifs en vue de la victoire (à l’exception peut-être de 2-3 niveaux). L’absence de ‘HD’ encourage les errances labyrinthiques, avec les murs ‘tapisseries’, mais ce sont les seuls aspects rageants, le reste est fluide et il y a presque toujours à découvrir ou mitrailler en chemin. Le jeu réserve aussi quelques surprises (nombreuses quoique petites facéties – les cris des chiens ou des soldats, les posters d’Adolf et tous ces détails d’ambiance) et une double-rencontre avec un Fuhrer-mécha (le premier s’avère une feinte). Le côté teigneux et enjoué dégouline jusque dans la présentation (avec les quasi-insultes pour ceux qui sortent du jeu). Technique 7-, Gameplay 7+, Univers 7+, Ludique 8-. (74) 11heures

  • DreadOut (Indonésie 2014) : Un jeu ‘indépendant’ largement inspiré de Project Zero/Fatal Frame et cousin des films de fantômes nippons, avec les clichés ‘sadoko’. Inachevé – j’en suis resté au boss des ciseaux (d’après un let’s play il faut photographier sept fois la créature et éviter son quatrième coup). Je préfère aller au bout par principe mais ce jeu n’en vaut pas la peine et j’ai été suffisamment loin pour m’en assurer. Sauf l’apparence et l’univers par son potentiel, DreadOut est médiocre et plombant. Cette joliesse ne saurait compenser, pas plus que les grandes étendues, puisque tout se ressemble et qu’il n’y a l’essentiel du temps rien à voir. Il faut cumuler des objets au hasard, les indications du Journal et du ‘coffre’ sont inutiles. Les contenus additionnels eux aussi ne servent à rien, n’apportent que des demi-anecdotes décevantes sur les surprises/rencontres. L’animation des personnages et leurs prestations, en tout cas à ce stade (j’en suis au milieu ou légèrement après) est rigide et plutôt vulgaire. La bande-son est trop agressive et laide dans les moments de haute tension. Ce jeu n’est pas désagréable mais a peu à offrir, ce qu’il essaie de dissimuler, en leurrant un programme d’exploration, ce qui décuple son vide. Technique 7, Gameplay 4, Univers 7-, Ludique 3. (42) 5heures -inachevé-
  • Amnesia The Dark Descent (2010) : Repris et fini ce jeu, entamé l’été 2014, approché rapidement l’été dernier, pour des sessions très courtes mais laissant de fortes impressions (malgré le surplace et le vide humain). Le meilleur était pour la suite (à partir du badge ‘Maître des eaux’). Ce jeu ne peut se confondre avec les autres et est à l’opposé d’un FPS. Notre héros est démuni, doit ruser ou avancer prudemment et non se battre. Il faut survivre dans un monde hostile, étrange et parfois merveilleux – et par-dessus tout il faut le traverser. De nombreux passages, même de moindre intensité, s’approchent du cauchemar (mention spéciale au passage dans la brume). Le problème de ce jeu reste le grignotage du temps par certaines énigmes versant dans le goût du minuscule et par les accès de folie. On voudrait avancer et on subit encore cette panique du personnage face à des découvertes (ou rencontres) choquantes – or vient un moment où nous ne sommes plus surpris et où se faire dicter son sentiment peut irriter. Technique 8, Gameplay 7, Univers 9+, Ludique 8. (82) 6heures +7heures avant
  • South Park le bâton de vérité (2014) : Ravira les fans de la série et de carnages potaches. La première journée est la moins stimulante (sur trois, avec une quatrième par défaut qui est le temps où boucler les missions secondaires). Malgré des défauts, des limites et des lourdeurs colossales (parfois grâce à elles), c’est une excellente expérience. J’y ai joué plus longtemps qu’à Dead Space et il arrive en troisième position pour la durée (après Stalker Chernobyl, Call of Ctulhu – on peut aussi compter la collection Doom via la BFG Edition – et deux jeux Web). Technique 7, Gameplay 8, Univers 9, Ludique 9. (84) 30heures
  • Half-Life Blue Shift (2001) : Seconde extension officielle, deux fois plus courte (ou plus pour les gens efficients). (54) 4heures
  • Half-Life Opposing Force (1999) : Première extension d’Half-Life, confiée par Valve à GearBox. Le premier tiers m’a fait mauvais effet : bugs récurrents, cinématiques hideuses, ‘approximations’ intenses dans l’IA, les dialogues. Beaucoup de bruits parasites. Ces défauts s’estompent en arrivant au milieu, en même temps que le plaisir croît, puis quelques problèmes mineurs ressurgissent auprès du boss final. Malgré ses passages inutiles, ses nombreuses redondances et ses lourds clins-d’œils ou auto-citations, ce jeu garde de beaux arguments et aurait pu être une excellente expérience. Il renouvelle les décors, les compagnons et surtout les ennemis. De nouvelles armes apparaissent, originales et efficaces ! Elles serviront pour plusieurs bonnes séquences de combats, confortant la franchise dans sa rénovation du FPS (car il y a 19 ans les qualités pouvaient [devaient ?] écraser les autres considérations) – de ‘doom-like’ moderne, plus beau, amélioré. Ce jeu est accessible via les ‘paquets’ Half-Life ou Valve, c’est ainsi qu’il faut se le procurer. (58) 9 heures
  • Half-Life (1998) : El famoso. J’avais déjà pris contact quelques heures et oublié (en dépassant la plante géante mais avant de retrouver le soleil – et en zappant les débuts). C’est effectivement un jeu-vidéo remarquable, varié dans ses épreuves et, progressivement, dans ses espaces (la dernière partie est à la fois d’un goût douteux et d’un exotisme agréable). En revanche j’ai cumulé, avant le désert surtout, les sessions courtes, car certaines étapes ou difficultés me lassaient vite. J’ai préféré les vieux Doom, même lorsqu’ils étaient longs et difficiles ; j’aurais peut-être davantage aimé Half-Life s’il était passé avant Stalker Chernobyl et Dead Space. Technique 9-, Gameplay 8+, Univers 8+, Ludique 8+. (82) 21 heures

Premier Bilan JV (2017)

JEUX-VIDÉOS 2017 ET AVANT (BILAN)

23 Jan

Comme pour la BD, c’est un nouvel univers me concernant, abordé ‘vraiment’ en 2017. Je ne suis pas un gamer, ne jouait pas avant. J’avais 28 jeux au compteur [SC] mais une bonne part venait de loin ou des petits jeux disponibles sur internet ou les vieux ordinateurs (2048, jeux de cartes).

Seuls les deux derniers mois de l’année sont concernés ; il y aura donc, probablement, plus de jeux listés les prochaines fois. Ce premier bilan en est donc un ‘total’.

Pour les jeux de l’année, je passe du plus récent au plus ancien – comme je ferais pour chaque univers lors des bilans.

Avant 2017 : Jeux sur PC (‘véritables’ – sur navigateur) (7)

  • Diablo II – Reaper of Souls : il est possible que celui-ci ait été surnoté, d’autant que c’est le premier dans son registre que j’ai expérimenté (et son univers m’attirait peu – il m’attire toujours peu, je n’ai pas été sensible aux cinématiques). Le gameplay est minimaliste et forcément moins immersif qu’avec mes trois jeux préférés (au moment de cet article), mais l’expérience était plaisante. Si on souhaite jouer de manière compulsive, sans barrières (ou à défoncer), c’est parfait. (9)
  • Dead Space : le meilleur à ce stade avec Ctulhu. (9)
  • Botanicula : réceptif à son côté kawai mais pas au gameplay. Pas achevé mais largement parcouru. (7)
  • Amnesia – The Dark Descent : inachevé, j’en étais à la moitié, après plusieurs essais éloignés dans le temps.
  • Alice Madness Returns : inachevé de loin, mais j’y ai déjà passé plus de six heures. Ravissant mais sûrement pas passionnant.
  • Call of Ctulhu : premier jeu sur lequel j’ai passé beaucoup de temps et que j’ai terminé. Il était le mètre-étalon jusqu’à Chernobyl. (9)
  • Ballance : moins légitime que tous les précédents, car testé rapidement. (7)

Avant 2017 : Jeux notables sur web (2)

  • NationStates : j’ai toujours ma région (et d’autres). (7)
  • Le Loup-Garou de Thiercellieux : à jouer avec une majorité de gens connus de préférence. (9)

Enfant/ado (4)

  • Astérix & Obélix XXL2 Mission Las Vegum : ado, le seul joué (et aimé). (8)
  • Les 9 destins de Valdo : enfant-ado. (7)
  • Adibou II : enfant. (8)
  • Driver : enfant, quelques fois. (6)

Avant 2017 : Petits jeux et divers sur ordinateur (11)

  • Dungeons and dungeons : le meilleur de loin des petits/micros-jeux sur navigateur, hors de la ‘ligue 1’ présentée plus haut. (8)
  • Canabalt : Simple, possibilité d’aller loin, plaisant et peu addictif. (7)
  • Piou Piou contre les cactus : Créateurs lésés par ceux de Flappy Bird. (6)
  • Candy Crush Saga : le jeu via facebook, le passe-temps/divertissement simpliste et efficace par excellence. (6)
  • 2048 : permet de vérifier si son cerveau, le vrai – le rationnel, est encore branché. (7)
  • Dys4ia
  • Flappy Bird
  • QWOP : un jeu ouvertement stupide et exagérément difficile pour une expérience joyeusement nulle. (3)
  • Chess Titans : simplement la conversion sur le web.
  • Raroshi
  • Akinator : Malheureusement lorsqu’on bat la machine, on la bat trop bien et c’est un ennui.

Les ‘sous-jeux’ / sur ordinateur (4)

  • Solitaire
  • FreeCell : meilleur que le précédent, quoique ce serait à vérifier.
  • Spider Solitaire
  • Démineur : je crois que son gameplay est raté.

Sont comptés dans l’univers ‘Jeux’ sur SC.

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Jeux approchés : essayés rapidement (6)

  • Alien Isolation : Entamé et peu apprécié l’univers. J’ai dû y passer près d’une heure et ai été rebuté par le gameplay.
  • Starcraft : Une heure voire presque deux. À la préhistoire de mon approche des ‘vrais’ jeux, je l’ai donc rangé dans mes tops par défaut et en supposant qu’il pouvait dégager lorsque j’y viendrais vraiment – mais s’il y est, c’est que ça restait bon/encourageant a-priori.
  • Age of Empire II HD edition : Celui sur lequel j’ai passé le plus de temps, de très loin, dans cette catégorie, en cumulant deux heures. Je l’ais toujours à disposition et j’y retournerais, mais il m’a fait un moins bon effet que le précédent.
  • Manhunt : J’ai été confronté à un bug récurrent en étant bloqué devant la première porte, après les deux ou trois bastons inaugurales. Problème à résoudre. D’ici là j’en suis à 48 min.
  • Diablo II + Diablo II – Lord of Destructions : ajoutés tous les deux, confusions / à l’époque pas au clair avec les extensions – ajoutés/traités car m’avait accroché (contrairement à Alien Isolation ou même Age of Empire, sur lesquels je dois attendre) mais pas au point de m’intriguer – il me semblait sans mystères et en général, aujourd’hui les jeux de ce genre m’attirent peu. Noté abusivement Diablo II et ajouté Diablo II Lord of destruction au top10 primitif – qui avait vocation de ‘remplissage’ dans l’attente de vraies expériences de jeu. (7)

Je tâcherais de les faire afin de ne pas laisser ces œuvres-là flotter entre deux rives.

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Jeux de 2017

Vingt-huit jeux avant cette année ; onze en 2017, ou dix dans la mesure où l’un n’est qu’un package rassemblant six d’entre eux.

  • Samorost 3 : Inséré dans mon Top10, même s’il a confirmé que j’étais peu adapté au gameplay de cette maison (Amanita Design – dont j’ai d’abord connu Botanicula). Pousse loin l’élaboration de son univers, avec un grand soin du détail. L’un des plus beaux jeux à ce stade. L’expérience de jeu est plus anodine et les petits cadeaux, musicaux notamment, la rehaussent – et dopent un peu l’envie, qui ne viendra pas ou peu de l’histoire ou des énigmes. (8)
  • Samorost 2 : Très joli et très rapide. (7)
  • Doom III – Resurrection of Evil : Niveau légèrement plus difficile que pour le jeu de base. La jouabilité m’a semblée plus rigide mais elle permet de mieux en découdre, une fois que les bons angles ont été repérés. (7)
  • Resident Evil : Dernier quart à finir en 2018, d’où l’absence de note sur SC à ce stade. A corsé mon adaptation à la manette, mais une fois la prise en main effectuée, le gameplay pose peu de problèmes (sauf pour les sauvegardes et les portes cassées). (7)
  • Doom III – The Lost Mission : J’ai pris du plaisir à liquider cette extension, généreuse et corsée sans jamais poser des barrières insurmontables ou ennuyantes. (8)
  • No Rest for the Living : Extension de Doom II, où le niveau de difficulté m’a semblé légèrement plus élevé. (8)
  • Doom II : Lui aussi pourrait voir sa note monter, ou du moins être reconnu comme le sommet de la saga – comme Doom 3 reste dans le top10, mécaniquement c’est plutôt lui. (8)
  • Doom : La note sera peut-être à augmenter : c’est le seul opus de la collection (avec le dernier joué Resurrection of Evil) auquel j’attribue 7. (7)
  • Doom III : Comme Stalker Chernobyl, je l’avais entamé pendant l’été 2016 – avec quelques heures au compteur, sans doute deux fois moins. Il me semblait assez laid, ou du moins criard, pourtant le niveau technique et graphique est bon ; simplement au début les humains sont nombreux, or ils sont raides et peu crédibles, contrairement aux autres créatures. (8)
  • Doom – BFG Edition : Cette édition concentre l’essentiel des jeux et la majorité de mon temps de jeu de l’année. Dans l’absolu elle contient Doom, Doom 2, Doom 3 (avec quelques corrections, j’ignore à quel point) et leurs extensions. (8)
  • Stalker Shadow of Chernobyl : Commencé en 2016, avec six heures au mois de juillet. J’ai alors stagné face aux premières petites missions et aux premiers combats, devant lesquels le noob complet que j’étais ne pouvait que constater son retard. Je l’ai repris pour le finir quoiqu’il arrive et j’ai adoré. J’y ai passé de longues heures à la suite, une quarantaine finalement. Il pourrait faire l’objet d’une critique, car qu’importe les nouveaux jeux passionnants à venir, celui-ci devrait rester dans le ‘Top10’ – il est peut-être mon jeu préféré à ce stade, car l’expérience Call of Ctulhu remonte et ces deux préférés seront à refaire. (9)